Carnets de Voyages

Au dessin, s'est mêlée la passion du voyage... J'aime l'objet que représente un carnet, les pages cornées par les intempéries, le corps gonflé des souvenirs glanés et collés ça et là... Et les croquis, peintures, études, qui viennent étoffer ce recueil... L'ensemble forme le miroir de l'âme de celui qui voyage et des contrées qu'il traverse.



Mes carnets sont disponibles en auto-édition

Voyage en train jusqu'en Anatolie

Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 

Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 


Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 


Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 


Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 


Ça a commencé de façon anodine par un «pourquoi pas un voyage en train» ? Puis un «pourquoi pas en Turquie ?»
Tout bêtement. 
Avec toutes les problématiques actuelles liées à l’environnement, ça n’était pas un projet dénué de sens....

Avec ce périple, partagé avec mon fils de 11 ans, Nino,  il a fallu revoir mon rapport au temps, cette entité sauvage et indomptable contre laquelle je me suis toujours battue. J’ai dû apprendre à glisser dessus et à la laisser couler. J’ai dû accepter l’impuissance devant les minutes qui défilent de façon aléatoire, sans aucune explication rationnelle. J’ai dû composer avec l’idée de rater des trains, rater le voyage, rater notre aventure, et une fois cette idée acceptée, nous n’en avons finalement raté aucun. J’ai surtout dû me faire à l’idée que le temps défile, quoiqu’il arrive, et en comprenant cela, j’ai enfin pu  l’arrêter... 
Ainsi, j’ai pu profiter pleinement et pour toujours des plus beaux paysages de la Turquie, qui sont maintenant gravés en moi à tout jamais. 

Il m’aura fallu 21 jours et 7784 km pour comprendre que la notion d’espace-temps n’est pas si abstraite que ça... 


"Saül, en plein cœur" 

Carnet de Voyage en Guyane

Ce petit département, tout là bas, de l'autre côté de l'océan est un
peu oublié ou méconnu. Victime d'une mauvaise réputation,
fabriquée à coup de bagnards, d'orpailleurs, et de trafiquants.
Pourtant, il m'a touché en plein cœur.

Car du coeur il y en a en Guyane ! Particulièrement à Saül,
village où j'ai tenu à concentrer mon voyage. Pour découvrir
l'Amazonie...


Saül est au coeur de l'Amazonie, de la jungle, des grands arbres
et des animaux, où l'on peut observer une biodiversité d'une
extrême richesse, enveloppée par le vivant. l'Amazonie, c'est un
rêve d'enfant, que jamais je n'aurais pensé pouvoir partager avec
mon fils de 9 ans. Trop hostile, la forêt est un antre où il ne faut
pas pénétrer si l'on est novice. Sauf à Saül.


Là bas la forêt est à
portée de tous, sécurisante. Un premier pas, accessible.
Du coeur, il y en a aussi énormément chez les habitants de ce
petit village, coupé du reste du monde. Pas de route, juste un
petit avion pour Cayenne qui est le seul lien physique avec
l'extérieur. La vie s'organise autour de lui.


Alors là bas, on
s'entraide, on se dépanne, on fabrique et on répare. On compte
les uns sur les autres. Nous avons logé chez Lulu, qui avec sa
femme Séverine et leur fille Jeanne, nous ont reçu avec cette
convivialité naturelle qui fait que l'on se sent comme en famille.


Et mon cœur à moi, il est reparti avec une petite déchirure
quand-même... Mais pas seulement. Dans un recoin, un petit
bout de Saül et de la Guyane qui y restera niché pour toujours.